Mes premiers amours.
Mes derniers amours.
Mon style d’écriture et mes lectures passionnées, souvent trop courtes, mais passionnées.
Les vrais amours de ma vie. Mes filles.
Mes passions passées, mes passions que j’aurai du découvrir bien avant et mes passions futures.
Mes plus belles réussites, mes échecs, mes reconstructions et oui, évidemment, ma famille.
Cette famille, plus déchirée qu’unie, dévouée mais pudique, égoïste mais généreuse, incomprise et mal comprise.
Mes révoltes, justifiées et inutiles et mes combats d’orgueil et d’amour .
Ce corps qui me tient debout tous les jours, la tête haute.
La maladie de ma seconde fille que je combattrai jusqu’à sa rémission.
Ce temps, que je n’ai plus, mais qui est devenu essentiel pour mes Amours.
Ce défi, cette vie, avec ses bonheurs suprêmes et ses blessures tout aussi suprêmes.
C’est tellement difficile et tellement passionnant.
Mon livre, ce Livre, que je n’ai jamais écrit et qui pourrait pourtant devenir un nouvel objectif dans ma vie.
Et puis ce journal.
Qui me tient encore à cœur.
Comme un tremplin vers une autre étape…
Un sentiment incroyable d’amour.
16/05/2022.
Peut-être le début d’un retour.
Peut-être un soupçon d’envie de retrouver ma plume.
Peut-être le début d’une grande histoire.
Peut-être bien que je suis de retour…
C’est finit.
Une nouvelle vie s’offre à moi.
Wait and see.
Je fonce les yeux fermés.
Je n’ai plus de temps à perdre.
Le dernier écrit de 2013 rend ce finish tellement logique.
Le début d’une nouvelle vie est tellement compliqué qu’elle en devient excitante.
Elle est différente, il faut que j’apprenne à accepter et aimer ses différences (à Elle).
J’ai connu la rupture qui m’a fait souffrir, j’ai connu la relation qui m’a fait souffrir, j’ai connu la souffrance de quitter quelqu’un, j’aimerai connaître l’amour qui me permettra d’enfin construire quelque chose dans ma vie personnelle.
Elle ou une autre, si c’est Elle tant mieux, sinon j’aurai passé d’excellents moments.
Mais je ne regrette pas d’avoir quitté celle que j’aime peut être encore. Elle n’a pas comblé ma volonté de famille. Il était temps de partir.
]]>Je dois rester professionnel et aller au bout de l’aventure. Ces personnes méritent que je me donne à fond pour eux. Je dois croire en eux, même si l’impossible situation dans laquelle ils sont me tétanise parfois. Je dois être convaincu et convainquant au risque de m’éloigner de mon esprit cartésien. La rationalité n’a plus sa place. Être rationnel serait synonyme d’abandon. Il reste une infime chance. Jouons la partie.
]]>Il faut se rendre à l’évidence. J’ai 28 ans, bientôt 29 ans et je suis encore ici à relater mes espoirs teintés de désespoirs. D’autres préparent actuellement leur mariage prévu un an à l’avance. D’autres encore vont chercher le petit dernier à la crèche. Enfin certains préparent la chambre du petit nouveau.
Je ne suis pas peu fier de ma réussite professionnelle. Elle n’est pas parfaite mais elle a le mérite d’être significative dans la vie d’un homme. C’est vrai, après tout, j’aurai pu avoir un boulot qui me déplaise profondément et pour lequel je n’aurai eu aucune reconnaissance sociale.
Mais ces choses de la vie citées dans mon premier paragraphe m’échappent. Elles m’échappent… Mon couple aurait pu être pire. Mais Elle n’est pas en phase, non Elle n’est pas encore prête. Pourtant voilà 7 ans, 7 années. Mais non, elle ne me donne pas l’assurance qu’elle veuille évoluer.
Je pourrai peut être forcer les choses. Oui, très certainement.
Mais merde à la fin.... La plupart de mes amis ont été sur des rails.
Cette volonté de construire une famille a été naturelle et ils n’ont pas eu le choix de le vivre. Et je les crois heureux comme ça.
Ils se sont tous mariés. Je ne suis pas quelqu’un d’envieux, je regarde très peu la vie privée des gens… pourtant j’aurai aimé que tout soit plus simple aussi...
J’avais une porte de sortie. Une âme sœur. Qui aurait eu, je pense, les mêmes objectifs de vie. Mais je laisse dorénavant ça dans l’obscurité. Elle semble se préparer à les vivre avec quelqu’un d’autre. Je ne porte pas cette personne dans mon cœur, mais si c’est le bon....alors tant mieux.
Je crois que si vous me lisez, si tenté que quelqu’un me lise, aucun d’entre vous ne peut comprendre cet écrit.
Si je suis encore là à écrire, c’est qu’en faite je me rends compte que je n’ai plus de confident ou confidente. Un peu comme avant finalement. Ce sont des choses que je ne pas dire dans mon couple, que je ne peux pas dire à ma futur ex meilleure amie, et je n’ai plus d’ami masculin. Du moins aucun est proche de moi.
Alors voilà, j’écris.
Et puis ?
Je pensais que la réponse à cette question était naturelle. Je pensais que je ne me poserai jamais ce genre de questionnement. Je ne pensais pas que parvenir au somment m’aurait laissé tant de traces. Cette ascension m a éloigné de moi même. J’ai mon esprit qui a ce s’il faut pour rester au sommet, mais j’ai mon corps qui n’a pas le niveau nécessaire pour y rester.. Je viens de me rendre compte que j’ai besoin des deux. Il est temps de se reprendre en main.
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C’est à peu près la seule envie qui occupe mon esprit actuellement. Tout va trop loin professionnellement, c’est bien et mal à la fois, mais j’ai comme le sentiment que ce n’est pas comme ça que je souhaite exercer mon métier. Je suis en vacances et j’essaye de prendre le temps de réfléchir à tout ça. Après tout je suis libre maintenant, j’ai le luxe d’avoir le choix...
(Premier écrit de mon iPhone, j’avais jamais testé!)
Le luxe d’avoir choix, le luxe d’être libre dans les choix professionnels, voilà ce que j’ai gagné en arrivant au plus haut niveau, pourquoi ne pas en tenir compte ?
Je n’y pense jamais mais c’est un mot qui pourrait me faire lever de mon lit pour aller regarder dans un bon vieux dictionnaire sa définition.
Il y a comme ça des mots dont je suis toujours curieux de savoir comment les sages l’ont défini.
Si je devais lui donner une définition ce serait : "sensation corporelle provoquée par le froid ou par un évènement innatendu entrînant une émotion sensorielle".
Oui, bof, je vous l’accorde. Cela dit je crois que chacun de nous vivons pour ressentir ces frissons. Ce frisson qui nous donne l’impression de vivre. A chacun à sa forme de frisson.
Mais il ne peut exister que s’il y a un interdit, un danger… Si cet interdit est accompli ou dépassé alors nous pourrions ressentir ce frisson.
Ma vie est tout sauf monotone, elle est chargée en stress et en dangers.
Pourtant, cette fille représente à elle seule un frisson. Elle représente un challenge inavoué, des désir non désirés…
Et si finalement le fait de ne pas avoir été vers elle n’était finalement ce qui constitue le frisson attendu, espéré.
L’amitié homme femme existe t elle ? Il y a t il toujours une attirance qui va au delà de l’amitié ? Il y a t-il une hormone différente entre l’amitié et l’amour ?
Je ne sais finalement rien de la vie intime de celle qui me perturbe. Après 8 ans, je suis certain de ne connaître que l’ami ainsi que l’idée que je me suis fait d’elle si quelque chose pouvait se passer.
Il y a une formule que j’aime utiliser.
Laissons cette fausse vrai histoire dans l’obscurité.
Nous nous dirons jamais la vérité, aucun de nous ne fera le premier pas par peur de gacher notre amitié.
Finalement, en écrivant, je me rends compte que c’est cette inconnue du "nous" qui attise le feu de notre amitié fusionnelle.
Le silence et l’inconnu ont toujours fait recettes.
Qu’il y a t-il de plus frustrant que l’inconnu ?
Alors je crois qu’il faut passer à coté, car cet espoir de frisson est finalement un équilibre dans ma vie.
Nous sommes finalement d’éternels enfants ; la plus belle chose dans un cadeau c’est seulement l’attente et la sensation de désir interdit qu’il procure.
Voilà un cadeau que je n’oserai, je crois, jamais ouvrir.
A ceux qui comprendront…
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Si gamin j’avais levé les yeux moins haut...
J’aurai fait le nécessaire pour être avec toi.
Mais l’ambition m’a aveuglé,
Tu m’as envouté,
Je t’ai admiré,
Sans jamais te toucher,
Pourtant,
Cent fois j’aurai pu te le dire,
J’avais l’espoir que tu le pensais aussi?
Le nouveau sera heureux,
Sera chanceux,
Et je l’espère comblera tes rêves.
Je fais maintenant parti de ces gars
Qui sont passés à coté,
Mais sans toi,
Le ciel, dans ma vie,
N’aurait pas brillé de la même lumière.
Cet été,
Je me suis surpris à penser à toi,
Dans une rue de Manhattan,
Mon coeur savait déjà,
L’impossible histoire entre nous…
Alors j’écris aujourd’hui, tout au bout de la terre, pour te dire simplement.... simplement que je t’aime.
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Le temps passe vite. Je n’ai même plus une minute pour m’occuper des gens que j’aime.
La soif de réussite, l’envie d’aller toujours plus haut, prennet tellement de temps. Certains doivent être doués pour ça ; mener tout de front.
J’ai toujours eu du mal à faire deux choses à la fois.
Je n’écris plus ou quasiment plus. Je sens que j’ai perdu mon style d’écriture. Je ne sais pas si je serai encore capable d’écrire des piges comme je le faisais à l’époque.
Ca me manque c’est indéniable. Je l’ai toujours dit, le journalisme était vraiment un métier qui m’aurait plus.
Maintenant que je suis "grand", je me rends compte que j’aurais connu davantage de galère que de gloire.
Je n’aurai pas été reporter de l’extrème, ça c’est certain. Je suis trop poltron pour ça, ou bien trop raisonné.
Par contre animer des rubriques sur des quotidiens m’aurait beaucoup plus convenu. Je me demande si c’est encore possible de se présenter à une presse locale et proposer ses services pour des piges.
La crise de la presse et la médiocrité de masse sur le web ne semble plus en adéquation avec mes maigres ambitions.
Des idées, j’en ai des tonnes.
Finalement je crois que le temps est la chose la plus précieuse au monde.
Etrange et inattendue attitude de la part d’un professionnel…
Quand on sort d’une formation aussi pointue et excessivement encadrée juridiquement on pense au départ qu’il y a une seule et unique façon d’interpréter les problématiques. Puis avec un peu de bouteille et d’expérience, on arrive à nuancer certaines situations et à donner des orientations plus "exotiques" à notre jugement. Cette "exotisme du jugement" c’est ce que j’appelle tout simplement l’expérience ou l’effet d’expérience.
Pour être plus concret ; c’est avoir une réelle approche économique dans le respect des règles juridiques.
Si on arrive à faire cela à la perfection alors j’aime penser que l’on exerce notre métier le plus efficacement possible.
Mais voilà, face à un homme ayant derrière lui une belle expérience professionnelle, je suis abasourdi par le manque de pertinence dans ses choix. Je ne suis pas là pour juger, je suis trop jeune pour le faire. Mais je crains que le jugement de cet homme soit altéré par justement l’effet, non pas d’expérience, mais de complaisance excessive. Autant dire que cette complaisance est un comble quand on exerce une profession exclusivement basée et valorisée sur l’indépendance !
Alors deux questions se posent. Soit cet homme est devenu totalement fou, soit collaborer depuis des années avec un client devient finalement néfaste pour les deux parties et très certainement contre productif.
Pour finir le tableau, cette apparente incompétence est ternie par une prétention ecoeurante. A croire qu’en province (sud est de la France pour moi), nous sommes moins compétents que les Parisiens.
En tous cas, c’était son sous entendu…
Et si loin à la fois.
Une promotion professionnelle qui risque de m’échapper à cause de détails qui finalement font la différence. Si ça ne se faisait pas, ce serait contrariant, même plutôt frustrant, mais cela dit encourageant. Il ne faut pas avoir de regret si je devais constater que mon destin professionnel est finalement ailleurs. Souvent, certaines décisions se jouent à pas grand chose. Un évènement, une négligence, un manque de chance ou encore tout simplement un choix qui finalement s’annonce raisonnable.
Cette promotion, obtenue ou pas, ne doit pas être un aboutissement mais un encouragement à faire encore mieux, à trouver mieux, à se motiver vers des objectifs semblables mais dans le fond très différents.
Alors qu’une masse importante de travail m’attend, je me tourne maintenant vers le ciel et j’essaye de lui faire confiance sur la destination qu’il a choisit.
J’ai connu une lassitude ces derniers mois qui s’estompe peu à peu. Un nouvel objectif se dessine, à la fois effrayant mais tellement encourageant.
Ces quelques lignes sur mon vieux journal sont la traduction d’un besoin de narrer surement un tournant dans ma vie. Il est toujours intéressant de ne pas oublier d’ou l’ont vient en se replongeant dans ses écrits. De mettre sur papier une trace de nos vies.
Tiens, salut journal, ça fait bien longtemps que l’on ne s’était plus croisé… Si tu savais comme j’ai changé… Si tu savais comme les gens ont changé… Si tu savais comme certaines personnes ont changé ma vie… Le train va vite, très vite peut être trop vite ?
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Qu’est ce qui me pousse à revenir ici ? Parmis vous, parmis journal intime. Bon nombre de bloggeur de l’époque ne semble plus être présent, Matt Lawson, Zelda, Soleil ? Non vous n’êtes plus là. Mais j’espère que vous êtes heureux.
Quand à moi, je suis là. J’aimerai trouver une explication à cette envie d’écrire. J’aime ecrire, j’ai toujours voulu en faire mon métier mais c’était peine perdue, trop d’obstacles et bien entendu jamais assez rémunérateur.
Il faut être honnête avec soi même, nos choix professionnels ne trouvent pas toujours leurs sources dans nos passions.
Cependant, il me reste ce journal. Ce magnifique journal, 84 écrits, 84 folies, dont un texte en particulier que je ne pourrai oublier...
J’aimerai ici résumer mes 5 dernières années, elle m’ont vu évoluer.
L’année 2012 sera d’ailleurs décisive et pleine de projet périlleux....
Et pourtant, je reviens à mes premiers amours....
C’est moi?
Oui, avec mes qualités et mes innombrables défauts.
De retour sur mon journal?
Il semblerait.
Pour combien de temps?
Si je le savais...
Pour qui ? Pour quoi ? Pourquoi?
Pour moi, pour y voir plus claire, dois je me justifier?
La boucle était-elle vraiment bouclée?
C’est ce que j’imaginais...
Minando est ce toujours ce pseudo que j’utiliserai?
Il y aura du changement, certainement.
Dois je encore réfléchir sur moi même?
Il est temps.
Combien de temps je dispose pour écrire?
Peu. Toujours trop peu.
Ecrire est-il mon moteur?
La réussite actuelle ne me suffit plus. Je veux plus. Toujours plus.
Suis je un éternel insatisfait?
Oui.
Diariste?
Journaliste dans le coeur, diariste pour mes lecteurs.
Age?
25 ans, un quart de siècle. (Putain de temps...)
Sexe?
Masculin.
Pays?
France.
Pour combien de temps?
Encore un bout de temps.
Ville?
Anonymat oblige.
Indice?
Là où le soleil coûte cher.
Ambitions?
Etre devant, toujours devant les autres.
Physique?
Besoin de sport. Toujours.
Passion?
La vie.
Richesse?
Elle augmente pour l’instant comme si vous regardiez une plante poussée. Mais j’y travaille.
Amitiés?
Plusieurs, surtout féminines. Bizarrement certains amis m’ont abandonné, ou c’est l’inverse, enfin je ne sais plus...
Amour?
Amoureux. Une perle, rare, très rare.
Quoi de neuf ces prochains jours?
Un écrit, un vrai, sur JI.
Voiture?
Pas mal. Neuve. Enfin maintenant elle a 3 ans.
Nom?
Minando. (pseudo aurait été plus approprié)
Un dernier mot?
Je n’ai pas encore dit mon dernier mot...
Une dernière phrase?
La boucle n’est pas encore bouclée.
Bonne soirée.
Minando.
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Deux ans, deux ans que je suis sur journal intime. Sans aucun doute je dois être le diariste le plus irrégulier de la planète. Sûrement aussi le plus incohérent. Je ne pense pas qu’il reste encore des lecteurs fidèles.
Peut importe. Ma vie a tellement changé, ou plutot, évolué, depuis deux ans. Après ma rupture fracassante suite à une relation de presque 5 ans, après mes différents déboires avec les multiples filles rencontrées, après la rencontre de LA fille, après la réussite dans mes diplômes et dans mon métier.... me voilà encore vivant, toujours plus vivant, et surtout vivant avec LA fille.
Oui j’ai quitté le cocon familiale pour ELLE. Celle qui me rend heureux, celle qui m’a tant donné et qui me donne encore tellement.
Un livre, je pourrai écrire sur cette fille. Je ne regrette rien de notre relation, de cette relation.
Un diariste à la plume trop pressée mais qui a encore tellement de chose à dire et écrire. Mes ambitions sont folles dans ma vie professionnelle, si la santé est avec moi, j’aimerai accomplir toutes les choses qui me tiennent à coeur.
Ma vie est riche à présent en expérience. C’est là que je me rend compte que mon passé me sert tellement actuellement.
J’ai connu l’orage, j’ai connu l’ivresse, j’ai connu la reconnaissance, j’ai connu la satisfaction personnelle, j’ai connu la fierté, j’ai connu la douleur (une opération de mon épaule gauche est prévue), j’ai connu l’amour, j’ai connu le sexe, j’ai connu le talent, j’ai connu aussi l’échec, la passion....
Je ne peux pas résumer ma si longue absence en quelques lignes, misérables lignes.
Prenez cela comme un coucou d’un ancien diariste, un peu désordonné dans ses idées, un peu fou pour certain, qui a écrit un nombre incalculable de ligne dans sa vie mais qui revient toujours à la même conclusion.
Pourquoi tombe t on ? Pour mieux se relever… encore et toujours… Croyez moi.
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...et tellement indisponible. Manque de temps, manque de replis sur soi même, manque de prise de conscience.
Je suis arrivé au plus haut niveau dans mes études, j’ai réussi brillament, maintenant je dois faire mes preuves dans le monde professionnel pour arriver au sommet.
Coté coeur, je me suis installé avec une fille formidable, généreuse et belle. Qui l’aurait prédit il y a bientôt un an que cette fille serait la bonne?
Et pourtant dans ce monde qui semble si parfait, des pointes de mélancolies m’envahissent certains dimanches. D’ou viennent elles ? Pourquoi?....
Pourquoi n’est ce jamais simple ? Des vieux démons qui ressurgissent?...
...dumoins pas encore ! La vie va à 200 à l’heure mais mon journal sera toujours dans mon coeur. Je vais encore une fois essayer d’être plus présent ; donner de mes nouvelles ponctuellement. Ecrire me manque, comme d’ailleurs beaucoup de chose dans ma vie. Je ne suis quasi plus étudiant, je crois que je suis devenu adulte depuis quelques mois… Ma vie a changé, je l’ai voulu. Passer de l’adolescence vers l’age adulte est quelque chose qui ma toujours traumatisé au fond de moi, et là je suis en plein dedans...et c’est tant mieux.
A bientôt chers lecteurs et bonne année 2008 à tous.
]]>Je ne crois pas qu’il y ait encore beaucoup d’ancien sur journal intime. Pour certains, oui, vous ne rêvez pas Minando sait encore écrire. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi je n’ai plus su trouver le temps d’écrire…
Je vis une chose merveilleuse avec cette fille. Comme j’ai l’habitude dire, je ne suis sure de rien… d’absolument rien, mais je suis certain d’une chose ma vie a considérablement changé. En bien evidemment. Cela fait 6 mois que je suis avec elle et je ne regrette pas du tout ce que j’ai vécu, c’était tout simplement merveilleux… Je parle au passé pour me rappeler un jour, si tout va mal, que je n’ai pas à regretter cette relation.
Coté boulot c’est un peu plus chaotique. Pour faire un bref résumé de la situation je suis en alternance et je passe mon dernier diplôme en décembre. Au cabinet, les problèmes s’accumulent et j’ignore comment je vais m’en sortir. Cela dit c’est tres formateur.
Coté révision j’arrive dans une période charniere. La fameuse période de rush comme on dit. On est à deux mois des exams et CE sont les deux mois les plus importants de ma vie. Je dois assurer maintenant. Plus question de rêvasser ces deux mois sont déterminants dans la réussite de l’exam.
Comme vous pouvez voir ma vie est toujours aussi chargée… mais elle est belle et passionnante même si cela engendre beaucoup de stress de différentes nature.
Elle est belle, ma chérie, ma vie, et ma voiture neuve que je viens de recevoir (il y a 4 jours)... Un petit plaisir… bien mérité !
A bientôt.
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Je dois être certainement un des plus mauvais élèves de journal intime. Cela faisait un bail que je ne m’étais plus rendu sur le site et encore moins sur mon compte. C’est étrange comme ma vie a évolué ces derniers temps. Oui cette fille, me prend tout mon temps, à ma plus grande joie je dois vous avouer. Vous savez, j’ai l’impression d’être dans un rêve, le temps défile à une vitesse incroyable mais vous savez qu’il va y avoir une fin, forcément.
C’est ce que je ressens dans cette relation, je, on, profite à fond de nos moments ensemble, cela se passe à merveille par moment...mais je sais pas ce sentiment que cela s’arrêtera un jour ou un autre ne me lache pas. Pourtant il y a pas mal de choses positives… Est ce que c’est mon experience passée qui me rend si méfiant ? ou bien son comportement un peu dispersée par moment qui me pousse à penser ca.... ? Je ne sais pas. Sûrement un peu des deux.
Dans tous les cas, ce que j’ai vécu et ce que je vis avec elle est à vivre dans sa vie. On a prévu de partir en voyage dans quelques mois...J’ai hate de vivre ca avec elle. J’ai l’impression de vivre ma jeunesse auprès d’elle, je fonce la tête baissée, on verra le résultat final après tout, on ne peut pas tout contrôler. Alors, j’apprecie chaque moment, chaque instant, et j’aime quand nous nous amusons à imaginer notre futur… Je ne regrette pas, je suis conscient que tout peut arriver mais c’est peut être finalement le sort et le danger de tous les couples.
Et puis, il faut se souvenir d’où l’on vient…
A très bientôt, la vie m’attend, j’ai aussi beaucoup de travail qui s’accumule. Je reviendrai le plus souvent possible.
Merci encore à ces fidèles lecteurs qui me suivent depuis un bon bout de temps… Vivez la vie à fond sans vous prendre la tête. Un chagrin d’amour ca fait mal, ca détruit pour mieux se reconstruire et se sentir prêt à affronter de nouvelles aventures toujours plus fortes. On verra ce qui m’attend, en attendant je vis…
C’est quand on n’a plus d’espoir qu’il ne faut désespérer de rien.
]]>Ce soir j’ai envie de retraçer ma relation avec elle, histoire de ne rien oublier. Je n’ai pas fait ce qu’il fallait, j’aurai du tout noter, le temps passe et je sais que j’ai oublié pas mal de détails. Mais il n’est jamais trop tard. Je compte brievement noter les éléments essentiels qui font ce qu’on est aujourd’hui, tout est tellement fragile qu’il faut savoir écrire pour ne pas oublier.
- Notre premiez rendez vous. J’abime ma voiture en venant la chercher, le resto était assez original sauf qu’elle n’aime pas l’original, pourtant en fin de soirée sur le port et dans la voiture je lui donne un premier baiser, elle me répondit plus tard en la raccompagnant que c’est seulement demain matin qu’elle saura si elle est heureuse d’être avec moi. Le lendemain midi je lui ai posé la question ; la réponse fut oui, c’est bon elle est à moi pensais-je, au moins pour quelques temps esperais-je.
- Seul le second rendez vous pouvait confirmer cela. Le meeting de Sarko était une sortie orignale et qui s’est révélée idéale. Après le discours nous avons passé la moitié de la nuit dans sa voiture. On a parlé, on s’est embrassé, la relation pouvait alors commencer.
- Quelques jours plus tard elle m’enmene pour la premiere fois chez elle, elle assiste à ma remise des diplômes et je lui présente des amis, puis nous avons passé la plupart de nos nuits dans la voiture devant chez moi. Ces moments étaient uniques. On a appris à se connaître, à s’aimer, puis à faire naître les premiers désirs qui allaient inévitablement nous amener ....
- .... à aller plus loin, trop loin trouvait elle, dumois trop tôt. Une fois la présentation faite avec les parents c’est dans sa chambre que nos corps se reunissaient pour la premiere fois.... C’était parfait.
- Puis elle me presenta à ses amis d’enfance d’italie. Le weekend fut lui aussi parfait. Nous avons appris à nous connaître chaque moment était unique.... Connaître sa vie, apprendre sur son passé, m’a permis de m’attacher à elle et à toujours en savoir plus sur elle…
Bientôt la suite…
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